Ce samedi, à Rennes, comme dans 19 villes en France, Greenpeace a mené un rassemblement dans le cadre de la commémoration de la catastrophe de Fukushima.
En 2011, à la suite d'un tremblement de terre, un tsunami avait touché le Japon, provoquant notamment l'arrêt du système de refroidissement de la centrale nucléaire. Suite à l'accident, 123.000 personnes avaient dû évacuer de la zone contaminée par la radioactivité.
L'association écologiste voulait également, par ce rassemblement place de la mairie, alerter le public sur les risques d'un accident nucléaire également possible en France.
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Fukushima. C'était il y a six ans !« La quasi-situation de faillite d'EDF ne lui permet pas d'assurer la sécurité des 58 centrales nucléaires françaises. Cet hiver il y avait 30 réacteurs qui étaient en arrêt sur l'ensemble du parc pour maintenance ou problème technique. Les problèmes de démantèlement ou des déchets se posent aussi toujours », souligne Pierre de Greenpeace Rennes.
De son côté l'association milite notamment pour « l'optimisation de la consommation d'énergie » et le développement des énergies renouvelables.